Le palmier PAMBIL

Ce palmier rare se développe dans les
forêts primaires et secondaires en Equateur et en Amazonie. Il atteint sa maturité après 30 à 40 années.
Les communautés indigènes d’Equateur utilisent le tronc et les feuilles du palmier Pambil pour la construction de leur habitat. Seuls les indigènes Tsachilas plantent la graine de ce palmier dans le respect de leurs croyances.

Une approche responsable ...

Seules les feuilles tombées au sol sont récoltées, à l’issue d’une longue période d’observation, mais dans un délai très court afin de préserver leur état.
La récolte est l’une des tâches les plus astreignantes et dangereuses, car ce palmier sauvage de 30 m de hauteur, se développe dans un univers très hostile. 
La plantation massive de la palme africaine et de l’eucalyptus cause la destruction des forêts tropicales, ainsi que le rejet très important de dioxyde de carbone dans l’atmosphère.
La récolte (à pied ou à cheval), le processus de fabrication, long et complexe, font appel à des techniques respectueuses de l’environnement. L’acheminement des matières premières en provenance d’Equateur est effectué par voie maritime.

... et solidaire

La sauvegarde de cet arbre représente un retour aux traditions, à l’utilisation de matériaux nobles et écologiques. C’est une source de revenus permettant aux indigènes de demeurer sur leurs terres et perpétuer les générations futures.
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